Makou - MJ - Démon Guerrier

Max

Démon ( Ancient Bloodline )

Guerrier

2867 ans

Arme de prédilection : Mikoré & Rel’Rhak

Compétences : Maîtrise des armes de prédilection, Métamorphose, Feu (3), Aura Glaciale, Ombres (3), Maîtrise Martiale, Rapidité

Apparence : Mon apparence qui me fut donné à ma naissance est celle qu’un homme pourrait nommer comme étant un Balrog. Je suis constitué de cendres éternelles, d'ombres des profondeurs du monde et des flammes infernales avec une forme humanoïde. Une seule corne sur deux est apparente sur mon front, la seconde est brisée près de la base. Ma silhouette est telle que je mesure un peu plus de 6 pieds et d’une taille d’homme musclée. Malgré ma forme de flammes, d'ombres et de cendres, de long cheveux blanc descende jusqu'à mi-dos et mes yeux sont d’une couleur crimson. Un détail qui pourrait être insignifiant mais qu’il ne l’est point, sont deux énormes ailes formée de noirceur physique. La brume noir encre qui tombe des ailes est d'une température tellement froide qu'elle gèle tout ce qui la touche.
Lorsque mon frère prend le dessus et prend possession de mon corps, il y a des changements physiques qui surviennent. Ma longueur de cheveux atteint les hanches, d’une couleur d’un noir d’ébène, remonter telle des cornes devant mon visage. Mes yeux d’un couleur rouge, tourne au noir et ce marque d’une spirale rouge vif telle les braises de l’Enfer.

Mon passé : Mon histoire est un peu sombre, j’ai même caché mon histoire à ceux que je considérais comme des amis. Cette épopée qu’est ma vie a commencé il y a cela plus de 2000 ans…

Je vivais dans un tout petit village qui était paisible à l’époque. Avec ma mère que je connu très peu et mon père, fier démon et vaillant guerrier, sans oublier mon frère Leenad dans une maison simple.
Mon père était le commandant des petites troupes de défense du bourg dans lequel nous vivions et son second en main était Oriak, mon mentor. Ma mère était une sainte, toujours un sourire à son si doux visage. Mon frère, était quelque peu étrange. Parfois gentil, d’autre d’une vilaine té telle qui était visible qu’il retenait plus du sang démoniaque de mon père que le sang qui coulait dans les veines de ma mère.
Un jour, un messager du roi vint nous porter un message. Il y avait une campagne de guerre dans notre région. Un sorcier mégalomane venait de créer une armée pour faire tomber les Seigneurs de la province. Mon père, loyal homme, prit armes en mains ce prépara à l’affrontement contre les infidèles. Au bout d’une semaine, l’ennemies était devant nous. Nous croyions tous en une victoire simple et rapide, mais ce fut des plus catastrophiques. Le village fut rasé, ma mère tomba sous le feu de l’ennemies, mon père amena le reste de ces troupes dans une montagne un peu plus éloigné près d’un volcan et puis tout ce que je me rappelle de cette guerre, c’est les cris de mon frère près de moi et une énorme explosion dans ma tête. Lorsque j’avais repris conscience après la bataille, j’étais seul dans les décombres de mon petit village autrefois paisible. Je remontai la piste jusqu’au campement de mon père qui devint bientôt la ville de Sparda. Celui-ci, heureux que je ne suis pas succomber à l’affrontement tel ma mère et mon frère, décida de m’entrainer pour le combat dès maintenant. Je pris plus de 500 ans à maîtriser l’arme de la bataille, autant que ce sois dans l’effort mental que physique. Un demi-millénaire à ne pas quitter le nouveau chez-moi qu’était devenue la ville Sparda aux ethnies si différentes. J’étais jeune à l’époque, l’entrainement était dur et l’apprentissage difficile. Mais lorsque vint l’heure de l’épreuve de force, d’esprit et de ruse, mon père me forgea une arme magnifique et à la fois dangereuse. Mikoré, était le nom de mon épée qui était maîtresse de la force électrique. La lame était taillée dans du diamant provenant des mines de ma cité, un matériau à la fois indestructible et tranchant. Le manche était fait d’écaille de dragon beige et à la fois dorée.
C’était l’arme parfaite pour le grand défi. Une estocade de trois jours avec le maître d’arme Oriak. Lorsque j’achevai l’épreuve, épuisé mentale et physiquement, je sombrai dans le sommeil pour un repos bien mérité. Je pris le chemin du voyage après tout sa.

Dorénavant dans une nouvelle vie, je décidai de me trouver un nouveau nom. J’exilai celui de Soki pour me nommer Makou. Et passa un demi-millénaire en tant qu’aventurier. Je voyageai à travers le monde et ne fit que peu de chose, mais tout cela m’intéressa énormément. Puis vint un jour où je décidai de me mettre à plus de risque, une vie avec de l’action à vendre! Je passai un millénaire entier en tant que chasseur de prime. Mais pas seulement de mortels, mais aussi d’êtres démoniaques. C’était encore plus intéressent! J’y être peut-être couru le danger de perdre la vie à plusieurs reprises, mais cela était satisfaisant. Il remplissait la soif de sang qui m’égaillait dans ma jeunesse immature. Plusieurs années s’écoulèrent encore et ce fut à ce moment que j’entrepris la vie en compagnie.

Ma nouvelle vie forgée, je croyais que je serais en confort pour peut-être le reste de mon existence, mais je me trompais. Durant mon service avec la compagnie, je pris conscience que mon frère sommeillait en moi et ce réveilla pour la première fois depuis 2 millénaires. Je fus séparé en deux, mais cela pour peu de temps. Mon frère rôda et menaça ma compagnie, mais après une bataille au pris du sacrifice de ma vie, je pu renfermer mon double en moi.

La vie de compagnie me conduisit jusqu'à une nouvelle épreuve. Lors d’une seconde mort, mon frère fit un pacte avec le Malin. Lucifer lui donna plein pouvoir sur mon corps pour un moment temporaire. Celui-ci me conduisit jusqu’à un nouveau village la où ma compagnie était installée pour une recherche d’un artéfact. Au moment où je repris contrôle de ma personne, nous étions au combat contre les armées de l’Enfer. Des gens de ma compagnie y perdirent la vie, et j’en fus attristé.

Après ce nouveau défi, nous avions pu prendre un bon quatre mois de vacances méritées. C’était bien la première fois que je développais un sentiment d’affection fort pour un quelqu’un et de plus membre de ma compagnie. De nouveau, un événement vint nous chambouler et celle pour qui j’avais un lien profond s’enleva la vie.

Après avoir réuni la compagnie, il me fallut descendre en Enfer pour donner un coup de main à des membres du groupe. Nous furent engagé dans un combat contre un Démon d’une puissance élevé, mais nous lui prirent la vie. Avec notre retour sur la Terre, la compagnie était de nouveau en pièce et malgré la perte encore vive dans mon cœur, je pu passer au travers en développant un sentiment envers un nouveau membre du groupe. La fille d’un bon ami, dont nous étions partis sauver la mise. Puis ce fit autour de la femme de mon copain que nous furent envoyé sauvé.

Comme si la vie n’était pas assez difficile, une nouvelle menace fit surface. La porte des Enfers fut ouverte sur le monde des mortels. Mais cette épreuve n’était pu la mienne. Les mortels devaient prendre conscience de leur destin, moi je devais faire le vide mon âme souillée. Je retournai auprès de Oriak pour une nouvelle séance d’entrainement, surtout plus pour la spiritualité que le physique.

Depuis un centenaire je vivais dans les montagnes avec mon Maître Oriak et je m’entraînais sans cesse, physiquement et mentalement.

Je méditais parfois une journée entière, parfois juste une demie pour avoir le reste du temps en entraînement de combat. C’était Oriak qui me faisait exceller dans le combat, malgré que je mordu la poussière très souvent. Je croyais que cet homme aurait été plus facile à vaincre, avec toute l’âge avancé qu’il possédait mais cela était une erreur de ma part.

Lorsque mon entrainement vint à sa fin, Oriak palabra sur mon enfance, sur les moments oubliés. J'ai appris beaucoup plus en cette journée qu'en deux millénaires sur ma vie et ma famille. Puis il prit un énorme caisson et en sorti une lame extraordinaire. L'épée que mon oère avait manniée avec tant de force et d'expertise. Une lame courbée, affilée, possèder par l'esprit d'un ancien dieu déchu qui avait essayer de prendre controle sur mon père. Ce dernier brisa la volontée de l'être et amèna la volonte de l'arme à devenir l'équilibre de lame. Rel'rak fut son nom.

Je retourna à Sparda pour prendre le trône qui m'était du depuis prêt de 1000 ans. Ce règne fut cours en répit, 400 ans, puisque mon frère Leenad refit surface lorsque Rel'rak fut hors de ma portée et de son effet...